
Un incident exceptionnel et une immobilisation aussi massive que fugace de la première flotte de moyen-courriers du monde, celle de l’A320 et de ses multiples déclinaisons. Le géant européen Airbus a expliqué avoir découvert « qu’un rayonnement solaire intense [pouvait] corrompre des données essentielles au fonctionnement des commandes de vol » et demandé aux opérateurs « de mettre en œuvre les protections logicielles et/ou matérielles disponibles et de garantir la sécurité des vols ».
Cette découverte est intervenue après analyse des causes d’un incident intervenu sur un A320-200 lors du vol 1230 de JetBlue, le 30 octobre dernier. L’appareil avait piqué vers le sol l’espace d’un instant avant d’effectuer une « ressource » à 1,4 g, causant plusieurs blessés légers parmi les passagers, avant de reprendre sa croisière.
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