La mode est au petit satellite géostationnaire

Concept de microsatellite géostationnaire développé par Astranis. Crédit : Astranis.
Une start-up californienne a été choisie par un opérateur basé en Alaska pour fournir un satellite de télécommunications géostationnaire vingt fois plus petit que les satellites classiques, et ce n’est pas la première.

Comme si le marché géostationnaire commercial n’était pas assez restreint – à peine cinq contrats signés en 2018 – voici qu’une nouvelle tendance apparaît qui pourrait limiter encore la taille du segment accessible aux grands constructeurs traditionnels.

Pour la seconde fois en cinq mois, un constructeur de petits satellites a été choisi pour fournir une capacité sur orbite géostationnaire à un opérateur de télécommunications. Après Gapsat qui a passé commande d’un satellite à Terran Orbital en septembre dernier, voici que l’opérateur alaskain Pacific Dataport, d’Anchorage, a sélectionné la start-up californienne Astranis pour commander un satellite qui lui permettra de fournir une connectivité à haut débit sur l’Alaska.

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