La Russie a procédé à des tirs d’intercepteurs destinés à assurer la défense antimissile de la région de Moscou, et à la doter, semble-t-il, d’une capacité antisatellite.
En une semaine, à Plessetsk et à Sary-Chagan, les Forces spatiales russes (VKS) ont réalisé avec succès deux essais de leur nouvelle génération d’intercepteurs antimissiles, tous deux développés par PVO Almaz-Anteï à Ekaterinbourg.
Le premier tir a eu lieu le 26 mars à Plessetsk. Il s’agissait du sixième tir du missile 14A042 Noudol (PL-19 selon la dénomination américaine), le premier à être effectué à partir d’un affût mobile.
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