L’agence spatiale britannique UKSA a confié à Rolls-Royce l’étude d’un microréacteur nucléaire à fission pour alimenter une future station habitée à la surface de la Lune, mais d’autres industriels sont déjà sur les rangs.
Le programme lunaire américain Artemis vise un retour sur la Lune, avec la volonté d’assurer une présence humaine de longue durée à la surface de notre voisine. La durée de révolution de celle-ci entraîne des périodes de nuit de deux semaines, durant lesquelles il sera impossible à une installation lunaire non située à un pôle de générer de l’électricité solaire. Le recours à l’énergie nucléaire est présenté comme une alternative pour maintenir une activité au cours de ces périodes d’obscurité.
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