Les tours déportées font leur chemin

Visualisation d'un centre de contrôle déporté. Crédit : Thales
Déjà opérationnel sur les petits aéroports, le concept pourrait peu à peu prendre de l’ampleur sur les plateformes de taille moyenne en raison de la réduction des coûts d’exploitation qu’il offre.

Si les aéronefs pilotés à distance sont devenus une réalité depuis plusieurs années, c’est aussi en passe d’être le cas pour les tours de contrôle. Avec le concept de « remote tower » ou tour de contrôle déportée, les fournisseurs de services de la navigation aérienne (ANSP) seront bientôt en mesure d’assurer la gestion du trafic d’un aéroport sans avoir à mobiliser d’ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne (ou contrôleur aérien) sur place.

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