Devant un parterre d’invités, officiels, investisseurs et membres des équipes, un petit avion blanc traverse le tarmac de l’aérodrome de Francazal, au sud de Toulouse et vient se présenter devant le nouveau hangar d’Aura Aero. Son hélice tourne, mais le bruit de son moteur reste discret, et pour cause il n’est pas thermique mais électrique La foule se presse autour de l’appareil et le premier Integral E est poussé vers le hangar afin de prendre place entre ses deux grands frères, l’Integral R de voltige et l’Integral S pour l’écolage. « Cet appareil finira dans un musée », assure Jérémy Caussade, président et co-fondateur d’Aura Aero.
Aucun doute, ce 19 février, un événement historique vient de se produire.
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