
Alors qu’aux États-Unis, l’administration Trump demande à tailler dans les programmes de veille environnementale, l’Europe poursuit et renforce les siens, avec de nouvelles capacités, comme celles apportées par le radar du satellite Biomass.
Une semaine après sa mise sur orbite, le satellite Biomass, de l’ESA, a déployé le réflecteur d’antenne de 12 m de diamètre de son radar en bande P, le premier jamais lancé dans l’espace. Grâce à lui, il sera possible pour la première fois de faire un relevé global de la quantité de carbone stockée sous forme végétale dans les forêts de la planète. Cette information permettra de mieux modéliser le cycle du carbone dans l’atmosphère terrestre.
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