Le Rafale n’a presque aucune chance en Belgique

Emmanuel Macron devant un Rafale. Crédit : En Marche !
Malgré l’offre du ministre français des Armées Florence Parly, qui propose à la Belgique un partenariat stratégique avec le Rafale, il est très improbable que Bruxelles revienne sur les modalités de la compétition, ce qui laisse le champ libre au F-35 de Lockheed Martin.

Dassault et la France n’ont finalement pas déposé de dossier pour répondre à l’appel d’offres de remplacement des F-16. À la place, le ministre des Armées français a proposé le 7 septembre, date butoir pour répondre à Bruxelles, un « partenariat structurant, qui pourrait prendre la forme d’un accord intergouvernemental ». Il « comprendrait la fourniture de l’avion de combat Rafale, mais aussi une coopération approfondie entre nos deux armées de l’air dans les domaines opérationnels, de formation et de soutien, ainsi qu’une coopération industrielle et technique impliquant des entreprises des deux pays », a précisé le ministre dans un communiqué. Il s’agirait d’un accord d’État à État incluant le partage d’infrastructures, voire même d’éventuelles compensations d’ordre industriel.

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