La lente course de la propulsion hybride vers l’orbite

Gilmour Eris Hybride
Le petit lanceur Eris avant l'incident du 15 mai. Crédit : Gilmour Space Technologies.
Tandis qu’en Australie, Gilmour Space prépare une nouvelle tentative pour le vol inaugural de son petit lanceur à propulsion hybride Eris, au Brésil, le société sud-coréenne Innospace a reçu le feu vert des autorités pour son petit lanceur Hanbit-Nano. En Europe, d’autres champions de la propulsion hybride se préparent aussi.

La propulsion hybride semble avoir une propension imméritée pour les situations ridicules. Près de 36 ans après le piteux échec d’AmRoC (American Rocket Company) dont le démonstrateur avait simplement brûlé sur son pas de tir, sans décoller, les équipes de Gilmour Space Technologies ont vécu un grand moment de solitude lorsque durant la préparation du premier vol de leur petit lanceur Eris, sur la base de Bowen dans le Queensland. Douze heures avant l’heure prévue pour le décollage, la coiffe de l’Eris s’est séparée et est tombée au sol.

Cet article compte 1 350 mots et un tableau.

[…]

Ce contenu est réservé aux abonnés.      S’abonner

0 0 votes
Évaluation de l'article
Subscribe
Notification de
guest
0 Commentaires
le plus ancien
le plus récent most voted
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires