Possible début de sortie de crise pour le Scaf

NGF SCAF
Le NGF, tel qu'imaginé par Dassault. Crédit : V. Almansa - Eridia - Dassault Aviation.
Dassault Aviation et Airbus ont remis leur offre pour le démonstrateur du futur avion de combat européen, tandis que Safran et MTU ont remis celle concernant sa motorisation. Ce fragile équilibre sur le dossier du Scaf reste toutefois à la merci des volontés politiques des trois gouvernements.

Les auditions successives au Sénat d’Éric Trappier, P-DG de Dassault Aviation, le 10 mars, et d’Antoine Bouvier, directeur de la stratégie, des fusions-acquisitions et des affaires publiques d’Airbus accompagné de Dirk Hoke, directeur général d’Airbus Defence & Space, le 17 mars, auraient-elles porté leurs fruits ? Quinze jours plus tard, le 2 avril, le cabinet de Florence Parly, ministre des Armées, annonçait que les deux industriels avaient remis une offre aux gouvernements français, allemand et espagnol pour la réalisation d’un démonstrateur dans le cadre du Système de combat aérien du futur (Scaf).

Cet article compte 870 mots.

[…]

Ce contenu est réservé aux abonnés.      S’abonner

AUCUN COMMENTAIRE