Avec l’apparition du premier centre spatial universitaire, il y a dix ans, une nouvelle façon de se former a vu le jour en France. Ingénieurs et techniciens découvrent le spatial en développant et en produisant des cubesats, du concept initial jusqu’à l’exploitation des données.
À Montpellier, le Centre spatial universitaire vient de fêter ses dix ans et déballe son dernier cadeau, un pot vibrant de 58 kN qui vient compléter sa batterie de moyens d’essais qui comptait déjà un caisson pour les essais en vide thermique. Ce nouvel équipement a été financé par l’Université de Montpellier et l’État dans le cadre du Contrat Plan État-Région Occitanie 2021-2027 (CPER). Il est loin le temps où Laurent Dusseau et ses élèves testaient la future charge utile de leur tout premier cubesat en la lançant sous un ballon sonde du Cnes à partir des jardins de l’université.
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