Dossier : le réveil de la propulsion spatiale électrique française

Le petit moteur NPT-30 en sortie d'essai de durée de vie. Crédit : ThrustMe.
Naguère à la pointe de la propulsion spatiale électrique – principalement plasmique – hors d’Union soviétique, l’industrie spatiale française a contribué à la diffusion à l’Ouest de la technologie des moteurs Fakel mais a joué plusieurs fois de malchance pour placer ses propres produits. À l’heure de la percée du « tout électrique », les moteurs russes, américains et bientôt chinois, voire indiens apparaissent sur le marché. Tandis que Safran continue de chasser sur le marché géostationnaires des start-up offrent des solutions pour les cubesats et les constellations.

 

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