La revista que s’enaira*

Deux ans après que le premier confinement a rendu commune la pratique du télétravail, l’équipe d’Aerospatium se prépare pour une grande migration. Destination : Toulouse.

N’en déplaise à Valérie Pécresse, qui rappelle à l’envi que l’Île-de-France est la première région aéronautique de France, c’est bien dans la « ville rose » que bat le cœur du secteur. Cela est dû bien sûr à Airbus, mais surtout à toutes les entreprises, moyennes, petites, historiques ou toutes nouvelles, qui forment l’irremplaçable maillage de l’aéronautique et du spatial français.

Profitant des facilités que nous offrent les technologies modernes, des réunions, conférences et ateliers en virtuel, à la navette aérienne quand le « présentiel » s’impose, nous avons décidé de franchir le pas et de nous rapprocher de l’écosystème aéronautique et spatial qui depuis un siècle s’étire des Pyrénées à la Gironde.

Nous serons ainsi plus proches des acteurs qui « font » la réalité d’une industrie de dimension globale, qui transforment l’innovation en applications et qui, d’une certaine manière, s’imposent comme prescripteurs de solutions pour une aéronautique et un espace durable, à l’échelle de la planète. C’est avec grand plaisir que nous viendrons visiter vos ateliers, vos laboratoires, vos usines, ou simplement vos bureaux, pour rendre compte de ce qui s’y prépare et qui influencera notre avenir à tous.

À très bientôt !

* « Le magazine qui prend de la hauteur », en occitan, bien évidemment.

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